Notre maison

Cette année, avec le confinement et un temps exceptionnellement beau, nous profitons chaque jour du réveil du jardin.

Du côté des aromatiques, j’ai acheté un plan de verveine, pour compléter le thym et la ciboulette, avec l’espoir de faire des infusions lorsque la floraison commencera.

Pour les arbres, le cerisier et le pommier sont en fleur, mais est-ce que cela sera suffisant pour avoir quelques fruits ? Pour le moment nous n’avons pas eu beaucoup de chance de ce côté.

Les groseilliers, comme l’an dernier, se couvrent de fruits, on espère qu’ils donneront tout autant. L’arbousier semble avoir bien mieux aimé cet hiver, sans grand froid, il y a quelques fruits qui sont toujours en place, peut être pourrons-nous en goûter ? (l’an dernier seul Valentin avait pu gouter UNE arbouse).

Les chênes n’ont pas trop évolué, un seul se porte manifestement très bien, celui du milieu fait quelques bourgeons, peut être va-t-il finir par se développer. Le troisième est définitivement mort. Le jardinier devait le changer, mais on va devoir attendre l’automne maintenant.

Enfin, j’ai voulu faire des semis de tomates et de salades, mais les limaces s’en sont régalées dès que je les ai mis dehors. Donc il n’est pas certain qu’on ait grand chose cette année.

Après les travaux au jardin l’an dernier, cette année le jardin prend vraiment forme.

Les lavandes poussent très bien, et parfument agréablement le jardin, attirant toutes sortes d’abeilles qui y butinent du matin au soir. Malheureusement, pour les arbres, le résultat est moins brillant. L’un des arbres a parfaitement pris et se développe normalement, le second a commencé à se réveiller au printemps, il ne pousse pas beaucoup, mais ça devrait être mieux l’an prochain. Par contre, pour le troisième, rien à faire, il est mort. Le jardinier en a commandé un pour le remplacer, on espère qu’il l’aura à l’automne pour venir faire le remplacement avant l’hiver. C’est dommage, c’est celui qui doit nous séparer visuellement de nos voisins d’en face, et c’est celui qui joue le moins son rôle.

A l’avant de la maison, on a installé de nouveaux carrés potagers. La terre de notre terrain n’est vraiment pas propice au jardinage, on a donc mélangé de la terre du jardin avec du terreau et un peu de notre compost. Les carrés ont aussi pour mission de limiter un peu l’invasion des limaces (une vraie plaie). Nous y avons donc mis des tomates, de la salade, un plan de courgettes et des herbes aromatiques.

Nous avons aussi toujours des plans de framboises et de groseilles qui ont beaucoup donné (on a pu faire de la gelée de groseille, mais aussi tester de bons muffins aux fruits rouges)

Pendant les vacances de Noël, une bestiole a trouvé que le compost était à son goût, et l’a visité à plusieurs reprises.
On voyait donc un trou devant le composteur, et à l’intérieur tout était remué.
Les petites crottes allongées nous ont permis d’identifier le visiteur : un RAT !!!

Seule solution pour en avoir le coeur net : piéger le compost. Nous avons donc mis un piège à l’intérieur du composteur, mais le petit malin ne s’est pas fait prendre. Nous avons dons tenté un autre emplacement, juste devant le trou d’accès à l’extérieur du composteur, et cette fois nous avons eu de la chance

Depuis que nous l’avons attrapé, nous n’avons pas eu de nouvelle intrusion, donc on espère qu’il n’a pas prévenu ses copains…

Et évidemment, on va faire deux fois plus attention à ce qu’on met dans le compost, pour ne plus en attirer

Je ne vous ai pas montré les photos de notre jardin après les travaux.

Les jardiniers ont donc supprimé la butte qui avait servi pour l’accès au chantier, ce qui a quasiment doublé la surface en herbe à l’arrière de la maison (c’est mieux pour jouer au foot).

On a aussi supprimé l’arbre qui était au milieu et qui n’avait pas bien poussé (seules la moitié des branches avait pris).

Le long du mur, ils ont laissé une partie sur-élevée dans le prolongement de l’entrée de garage, et mis des arbres dans le but de masquer un peu la vue depuis les balcons du petit immeuble de l’autre côté de la rue. Malheureusement seul un arbre a bien pris, celui de droite. Celui du milieu montre quelques petites feuilles nouvelles, on espère qu’il va se réveiller d’un seul coup. Pour celui de gauche, il ne montre aucun signe d’adaptation, on risque de devoir le remplacer à l’automne.

Sous les arbres, les jardiniers ont mis des lavandes : elles sont encore petites, mais elles ont fleuri et sentent bon en ce moment, elles attirent abeilles et autres papillons.

Au fond, on aperçoit les cache-poubelles, et l’escalier qui permet de passer du niveau du garage à celui du jardin.

On a aussi ajouté un arbousier à l’angle du garage, on verra si on peut faire des confitures.

C’est reparti pour la pagaille dans le jardin !

Comme nous avons obtenu notre certificat de fin de travaux, nous pouvons nous défaire de la 3ème place de stationnement qui ne sert à rien (imposée par le PLU) et récupérer un peu plus d’espace de jardin.

A la place de la pente (glissante en cette saison) nous allons faire un escalier pour passer du niveau du garage à celui du jardin.

Nous en profitons aussi pour planter quelques arbres, histoire de réduire un peu le vis à vis avec le petit immeuble qui se trouve de l’autre côté de la route, et mettre des caches poubelle, histoire qu’on ne voit les voit plus.Par contre, l’arbre qui avait été planté précédemment va être retiré, car il n’avait pas bien pris, du coup je jardinier va nous le remplacer par une plante qui masquera un peu l’angle du garage depuis la maison.

Objectif : un beau jardin au printemps !

Il y a quelques semaines, constatant la baisse des températures, et ayant la flemme de devoir prévoir du temps pour gratter le pare-brise avant de sortir, on a décidé de ranger le garage pour pouvoir enfin y garer la voiture.

C’était une bonne idée, juste avant les grosses chutes de neige et les nuits bien glacées de ces derniers jours !

Par contre, on avait négligé un petit détail en achetant un terrain en angle de rue : 40m linéaires à déneiger, deux fois en une semaine, j’ai des bonnes courbatures au niveau de la taille et des épaules, mais pas l’ombre d’un mal de dos