Les Saintes

Hier soir nous avons demandé à l'hôtel de nous réveiller à 8h00. Lorsque le réveil sonne on dort profondément, et on remarque vite qu'il fait anormalement sombre... Il est 5h10!! la personne de l'accueil s'est trompé dans la programmation... Heureusement qu'on arrive à se rendormir un peu.

On prend notre petit déjeuner devant la plage du Pain de Sucre. On décide d'aller nous baigner, l'eau est très calme, et on en profite pour découvrir une dernière fois les poissons vivant dans les rochers et les coraux.

On rejoint ensuite le port grâce à la navette de l'hôtel (c'est beaucoup plus rapide que de le faire à pied comme la veille). Nous en profitons pour acheter des tourments d'amour, spécialité saintoise. Nous décidons de déjeuner dans un restaurant du centre, puis nous nous promenons tranquillement le long de la côte. Nous aurions bien pris un dernier petit bain sans aller jusqu'à la plage de Pompierre, mais les plages du côté du port sont envahies de barques de pêcheurs. On comprend pourquoi la plage de Pompierre est si connue pour la baignade.

Après nous être tranquillement reposés le long de la rive nous rejoignons le bateau pour rejoindre Trois-rivière. C'est un peu la pagaille, il y a foule sur le quai, et l'organisation de l'embarquement est un peu brouillonne, mais nous trouvons une place sur le pont du bateau. Par contre le retour est agité : les vagues passent par dessus le pont. Heureusement on est un peu protégé, on n'est pas trop mouilléà l'arrivée, par contre certains sont trempés (et certains vêtements sont super transparents quand ils sont humides ;-))

Nous devons rejoindre Ste Anne pour notre dernière nuit en Guadeloupe, et comme en chemin nous repassons près de la cascade du Carbet, nous décidons d'y faire un petit détour. Lorsque nous sortons de la voiture de petits oiseaux viennent immédiatement autour de nous dans l'espoir d'obtenir quelques miettes des gâteaux que nous mangeons. Ils nous poursuivent même alors que nous marchons vers le point de vue sur la cascade. Comme il est tard, une fois de plus on est obligé d'abandonner l'idée de rejoindre la cascade en rando.